EUROmad 2024 : Un Aperçu Inaugural, en Avant-Première
EUROmad 2024 : Un Aperçu Inaugural avec les Commissaires et Présidents – Expériences et Conseils en Avant-Première
En ce 21 décembre 2023, date de la première réunion des délégués de l’édition 2024 d’EUROmad. Les pays entre les mains et les commissions attribuées, ils s’apprêtent officiellement à entamer ce parcours qui les mènera jusqu’en avril, où des représentants d’autres pays les rejoindront dans le cadre du projet. Ainsi, quelques commissaires et présidents nous offrent une première approche en partageant leurs expériences et conseils.
Tout d’abord, pourriez-vous vous présenter, expliquer votre rôle en particulier, puis partager un peu de vos expériences passées à l’EUROmad?
«Je suis Carla Barrault de terminale 6. Je suis commissaire du Sommet Eurasie qui tourne autour des routes de la soie et toutes les problématiques avec les pays avec lesquels la Chine collabore pour créer une route de la soie.»
-Carla Barrault
«Moi je m’appelle Dana Purdey, je suis en terminale 3. J’ai déjà fait EUROmad l’année dernière, dans la commission de la défense en tant que déléguée de la Slovaquie, et cette année c’est ma première année en tant que commissaire. Je suis commissaire dans la Cour de Justice Européenne. À prioris c’est être un peu le médiateur, donner la parole aux gens, rappeler à l’ordre, mais aussi surtout donner du dynamisme aux débats et faire que l’ambiance de la commission soit bonne.»
-Dana Purdey
«Bonjour je suis Carlota Jardinier, élève de terminale, et je suis cette année co-présidente à l’EUROmad. En seconde j’étais journaliste, et je n’ai pas trop brillé dans ce rôle… Puis l’année dernière j’étais déléguée de la Roumanie en commission d’agriculture, un rôle que j’ai aimé. Ceci pour vous dire que vous pouvez même arriver à devenir président sans avoir nécessairement gagné un prix.»
-Carlota Jardinier
Avez-vous des attentes spécifiques pour cette nouvelle édition de la modélisation? Comment percevez-vous votre responsabilité au sein du projet, tant sur le plan personnel que dans un contexte plus général?
«Je suis plutôt contente de participer à ce projet-là, parce que c’est une façon de pouvoir connaître de nouvelles personnes, et d’élargir aussi ses horizons de pensée, et aussi élargir sa culture générale. Moi, j’ai jamais étudié ce thème-là de toute ma scolarité, et c’est pour moi aussi une façon d’aborder le sujet d’une autre façon.
Et c’est vrai que ce rôle il est un peu… On se rend compte qu’il y a une certaine responsabilité entre les commissaires. Oui, on a une certaine pression puisqu’il faut qu’on soit capables de gérer un groupe d’élèves, que les débats soient dynamiques, etc.»
-Carla Barrault
«Déjà les sujets des commissions ont l’air pas mal, c’est très varié. Puis j’ai hâte de connaître les gens qui viennent de l’extérieur. Plus personnellement, je suis contente des commissaires qui m’accompagnent cette année, je pense qu’on va très bien s’entendre, et que c’est tout-à-fait important.»
-Dana Purdey
«Ça me motive beaucoup, c’est une expérience qui me motive beaucoup. C’est vrai que ça dépend beaucoup des jours. Des fois on a cinq mille trucs à faire, avec deux jours d’avance, et il faut beaucoup communiquer entre nous, se mettre d’accord. C’est pas toujours facile ou évident, mais à la fin je pense que ça en vaut la peine. Donc même si c’est vrai qu’il y a beaucoup de pression, moi je suis convaincue que ça va très bien se passer.»
-Carlota Jardinier
Auriez-vous un petit conseil, une considération importante ou une source de motivation que vous aimeriez partager, ou que vous pensez que les participants devraient prendre en compte?
«Je pense que même si on fait des spécialités scientifiques, il est toujours intéressant de pouvoir faire des projets comme ça puisque ça permet de perdre de la timidité et on va tous passer un oral, que ce soit en première avec l’oral de français, ou en terminale avec le grand oral. C’est important pour s’élargir et progresser au niveau oral.
Et ensuite, c’est toujours la culture générale. Même si on va forcément atterrir dans une filière scientifique, on vit tous dans le même monde et on va tous être confrontés aux mêmes problématiques, donc c’est intéressant d’élargir sa culture générale pour pouvoir mieux comprendre le monde qui nous entoure.»
-Carla Barrault
«À l’EUROmad, il faut avoir de l’ambition, mais c’est surtout là pour être une expérience qui te plaît, de laquelle tu peux ressortir étant quelqu’un de mieux, de nouveau. Je fais aussi de l’HGGSP, donc dans le cadre des relations internationales ceci m’intéresse et me plaît beaucoup.»
-Carlota Jardinier