Lycée Français de Madrid
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La France propose 3 amendements pour renforcer la collaboration de l’ASSUE contre les menaces numériques

Modélisation du Conseil de l’Union Européenne du 19 au 22 mars 2025

La France propose 3 amendements pour renforcer la collaboration de l’ASSUE contre les menaces numériques

Lors de la dernière réunion d’Euromad, la France a proposé trois amendements pour renforcer la collaboration de l’Agence des services secrets de l’Union européenne (ASSUE) dans la lutte contre les menaces numériques.

 À travers le premier amendement, La France à proposé de compléter l’article 3, “fournir toutes les informations nécessaires, même des informations confidentielles, à la protection d’un pays si la nation en question possède”.  Avec de possibles sanctions économiques et commerciales pour les personnes ne respectant pas l’article et ses nouvelles modifications. L’objectif était de permettre à un pays de fournir toutes les informations nécessaires, y compris des informations confidentielles, afin de protéger l’Union Européenne en question. Le vote a été favorable et l’amendement passé.

       Le deuxième amendement, également proposé par la France, visait a élargir l’article 3 à nouveau, “pays sous attaque imminente sur la population ou sur l’économie qui aura des conséquences graves sur l’entièreté de l’UE” afin d’inclure les pays si il y avait une attaque imminente pouvant avoir des conséquences graves pour toute l’UE. Ce changement a aussi été approuvé par la majorité des membres de la commission.

Enfin, le troisième amendement français proposait de limiter les informations fournies à l’attaque en question uniquement, cette proposition encore une fois approuvée. 

Avec ces trois amendements, la France a renforcé la collaboration dans la lutte contre les menaces numériques de l’ASSUE, appelée maintenant EISA (“European Intelligence and Security Agency”) grâce à l’amendement proposé par le Luxembourg. Ces amendements ont été votés par la majorité des membres et ont permis de compléter l’article 3 afin de mieux protéger les pays de l’UE contre les menaces numériques.

 

Hugo Marti